vendredi 20 juin 2008

Tamiya CC-01 - Les améliorations à apporter

Après quelques heures de jeu en configuration de base, voici venu le temps des premières constatations.
Le train avant patine quand on attaque de grosses pentes. Il convient donc de le lester. Après quelques calculs, poser une couronne de 5 mm d'épaisseur de plomb dans la jante permettrait de lester chacune des roues de 100g. Ca tombe bien, j'ai du plomb, plus qu'à le fondre et le mouler. Ajouter moitié moins de lest à l'arrière ne fera pas de mal non plus. Je prévois donc de fondre 6 plaquettes de 12mm de large, 25mm de long, 5mm d'épaisseur, légèrement courbées pour chaque roue avant. Et 3 plaquettes pour chaque roue arrière. Pour assembler les plaquettes aux jantes, ca sera perçage à 3mm et pose d'une vis de 3*10 qui traverse plaquette et jante.
Le train avant manque de débattement, surtout en détente. En compression, de toute façon, la roue est à la limite de toucher le châssis, donc impossible de gagner de ce coté la. C'est donc "en bas" qu'il va falloir gagner. En démontant les combinés, la triangulation ne descend pas plus bas. Donc, c'est la géométrie qui est en cause. En fait, l'étrier touche le triangle inférieur, c'est là que se trouve la butée. Il va donc falloir meuler le triangle à ce niveau la. Puis changer les combinés pour des éléments à grand débattement.
Concernant la baignoire, je relève plusieurs optimisations possibles. Primo, l'angle d'attaque avant est trop léger. Je pense donc le scier puis refaire le ski avant. Dans la foulée, je vais prolonger le ski pour protéger la sortie centrale de la transmission. Le but de cette manipulation est tout simplement de permettre une meilleure "glisse" au châssis, en franchissement.
J'envisage enfin de revoir sérieusement le pont arrière. Tout d'abord, déplacer les ancrages des liens inférieurs. Ils dépassent sous le châssis et les rotules accrochent régulièrement. Il doit y avoir moyen de se poser sur les points de fixations des marche-pieds et "camoufler" les points d'ancrages. Il faudra également allonger le cardan pour la carrosserie qui arrive. Enfin, revoir les liens arrières. Ceci permettra, après, de placer des amortisseurs plus longs, afin de gagner de la hauteur à l'arrière et du débattement.
Mais le plus gros hic de ce châssis est la direction. Tout d'abord, mon servo de récuperation est trop peu puissant et pas assez rapide. Je vais donc aller regarder du coté des 9 kilos, plutot rapide, pignonnerie métal (et oui, pas de sauve-servo). Ensuite, le tube par lequel passe la direction fléchit et gomme à lui seul 10 à 15 degrés sur la course du servo. Il faudra voir à le bloquer. Je pense placer une plaque perforée pour enserrer ce tube à son sommet. Ensuite, sur le point de passage à travers la baignoire, je vais passer l'ensemble sur roulements, une modification "standard" sur ce chassis. Une fois la direction musclée et plus précise, il faudra donner de l'amplitude pour trouver du braquage. La, pas trop d'idée en tete, je me creuse les méninges.

Tamiya CC-01 - Chapitre vis et boulons

La encore, un petit châssis loisir de chez Tamiya, tendance vintage. Tellement recherché et apprécié que Tamiya a décidé de le re-éditer en 2008.
Il se présente sous la forme d'une baignoire en plastique qui va accueillir l'électronique, une partie de la direction, la démultiplication et la transmission aux roues avant. Dans le détail, que va t'on trouver?
Pour l'électronique, on a un logement transversal, au centre du châssis et au point le plus bas (histoire de ne pas casser le placement du centre de gravité) pour un accu stick 6 éléments. Au dessus de cet emplacement, une platine originellement prévue pour recevoir un récepteur et le variateur mécanique classique 3 vitesses. Devant l'accu, un logement pour le moteur, monté longitudinalement. A gauche du moteur, le servo de direction, à droite le servo de commande du variateur mécanique. Voila pour l'électronique.
Concernant la direction, on a donc le servo, son sauve-servo classique Tamiya, une biellette qui actionne un palonnier. Ce palonnier (horizontal) est prolongé verticalement par un grand tube qui est lui meme logé dans un tube du chassis (tube particulièrement souple, c'est un des soucis du chassis). C'est tout ce qu'on verra pour la direction au dessus du chassis.
Pour la démultiplication, on a droit à une cascade de pignons en plastique blanc qui entraine un différentiel avant à pignons coniques dans un corps en plastique et une sortie longitudinale pour le train arrière.
Voila, on a fait le tour du proprio pour tout ce qui est au dessus du chassis. Passons maintenant dessous.
Pour le train arrière, on a droit à un essieu arrière rigide. 2 coquilles enferment un différentiel à pignons coniques, corps métal, non étanche. De la, partent 2 axes qui vont aux roues. A l'avant du pont arriere, un couple conique, qui permet de connecter la sortie de la transmission centrale au pont arrière via un cardan homocinétique à la longueur variable.
L'essieu arrière est guidé par 4 liens en plastique, montés sur rotules et amortis par 2 amortisseurs hydrauliques.
A l'avant, on a le droit à une triangulation reprise d'un chassis touring, le TA03. L'utilisation de cette triangulation est une des faiblesses du chassis mais on verra plus tard comment contourner les soucis que cela amène. Pour décrire ce train avant, c'est assez simple. Une double triangulation, non réglable, avec étrier et porte-fusée assez classique pour l'époque. Les amortisseurs sont les memes qu'à l'arriere. Compte tenu de leur géometrie, il convient de durcir les suspensions mais en laissant le meme amortissement qu'à l'arriere. Pour la direction, le tube qui traversait le chassis est prolongé par un palonnier coté gauche du chassis. On trouve son équivalent coté droit. Les 2 sont reliés par une corde à piano. Bref, un Ackerman fixe. Ensuite, 2 biellettes sur rotules partent aux porte-fusées. Le tout est protégé et maintenu par un ski en 2 parties qui finit par remonter à l'avant et supporte un pare-buffles assez sommaire.
Voila, bienvenue à bord d'un CC-01 connu également sous le nom de XC.

Tamiya TL-01 - Chapitre vis et boulons

Bon, c'est parti pour une présentation du châssis.
Le TL-01 est un ensemble pour débutant, datant de la seconde moitié des années 90. Il partage sa conception avec de nombreux autres châssis Tamiya, tels que les M-02, M-03, FF-02. Il s'agit donc d'une poutre longitudinale de section carrée qui enferme la partie propulsion, électronique et direction. Sur cette poutre, viennent se greffer des trains triangulés.
La géométrie des suspensions est fixe, aucune biellette à pas inversé, aucun réglage possible. C'est la garantie pour un débutant d'avoir un chassis symétrique et en aucun cas malsain par des réglages innapropriés. Les combinés sont à friction, c'est à dire que l'amortissement est confié à un tube en plastique souple dans lequel vient frotter le "piston" en métal. Pas d'hydraulique. Le train avant repose sur un système étrier/porte-fusée et non sur rotule.
La direction est également simple, avec un servo monté tete en bas, un sauve-servo et les 2 bielletes de direction (de longueur fixe, en plastique) reliées à ce sauve servo.
La partie propulsion, de boite, est confiée à un variateur mécanique 3 vitesses, sans frein, marche avant/arrière, entrainant un Johnson 540 des plus standards. Le moteur est monté transversalement, à l'arrière. Il entraine une cascade de pignon assurant la démultiplication. Puis, cette cascade entraine le différentiel arrière à pignons coniques et, via un couple conique, un axe central qui longe le chassis à l'exterieur et le différentiel avant (toujours à pignons coniques, non étanche, non réglable). De chaque différentiel, partent 2 cardans standards (pas de CVD) pour entrainer les roues. Toute la transmission est montée sur bagues, soit en plastique, soit en bronze.
Rapidement, à la lecture de cette description, on constate que quelques options vont etre obligatoires en loisir. Passer la transmission sur roulements, pour gagner en autonomie, un variateur éléctronique toujours pour l'autonomie et de vrais amortisseurs. Tiens, puisqu'on change les amortisseurs... Gardez les chappes des amortisseurs d'origine, coupez un morceau de tige filettée de 3mm de diamètre et confectionnez vous des biellettes de direction plus courtes, pour avoir de l'ouverture au lieu du pincement et vous gagnerez en confort, avec un train avant plus directeur et plus collé à la route, à la place de celui très sous-vireur d'origine.
Pour le jeu dont fait preuve le chassis (et surtout le train avant), n'esperez rien. C'est comme ca, ça fait partie du concept de base. C'est également ce qui aide à garantir une solidité hors-norme.
Coté propulsion, si vous changez le moteur, ne descendez pas en dessous de 17 tours, la transmission d'origine est trop longue, meme au plus court.

lundi 16 juin 2008

Tamiya TL-01 Drift - Histoire du chassis - 2007 - ?

2007, je quitte la région parisienne et m'installe dans le Gard. En vidant ma cave, je retrouve, avec émotion, mon sac Tamiya. Dedans, une auto radio-commandée, un Tamiya TL-01. A coté, sa boite d'origine contient des carrosseries. A mon arrivée à mon nouveau domicile, démontage, nettoyage, changement des supports de carrosserie tordus par le poids de la boite posée dessus. Je monte le variateur éléctronique et le moteur. Apres quelques galeres à programmer le variateur (et oui, j'avais perdu la notice), l'auto roule. Que faire d'un chassis de débutant du millénaire précedent? Ah, bah, une auto de drift. Les pneus M2 sont remplacés par des HPI A-Drift. Les réglages sont revus (suppression de la BAR avant, passage à la plus dure à l'arriere, assouplissement hydraulique et ressorts à l'avant, durcissement à l'arriere, transmission courte et pignon de 19, verrouillages des différentiels à la durite sur l'axe des satellites).
Le résultat est convaincant mais je rencontre des soucis.
Dans l'ordre, les pneus ont trop de grip -> on passe aux sushis, en polyéthylène réticulé.
Le verrouillage des différentiels n'a pas tenu -> remplissage des corps à la pâte epoxy.
Le variateur perd sans cesse tout ou partie de sa programmation. Je perd au choix la progressivité ou la marche arrière, ou le frein ou n'importe quelle combinaison de ces 3 éléments.
Le moteur, bien que marqué 15*2, est sans doute plus proche du 13*2 voire du 11*2. La voiture part de suite à des vitesses stratosphériques mais manque de couple. Et, plus grave, les prises Tamiya de mes accus ont une durée de vie inférieure à 1 heure, avant de fondre.
Finalement, le variateur sera remplacé par un Hitec H-FXR (tant pis pour le fonctionnement des freins du GM) et le moteur par un Orion Method SVR 17*2.
Le résultat est une fiabilité impressionnante (moteur "simple", allié à la robustesse d'un chassis de débutant), une autonomie proche des 45 minutes avec un "simple" pack 6 éléments non triés Orion 4500 MaH et un plaisir fantastique.
Pour la partie "esthetique"? Wait and see :)

Tamiya CC-01 Scale - Histoire du chassis

Printemps 2008... J'ai une énorme envie (ouais, comme Nesquik) d'un scale 1.9'. Un scale 1.9'? Kézako? Comme son nom l'indique (ou pas), il s'agit d'un engin de franchissement à l'échelle (d'où scale, qui signifie échelle au sens "échelle de réduction" en anglais) au 1/10ème, équipé de jantes de 1.9 pouces, soit les mêmes jantes que les 1/10ème touring (48mm de diamètre pour 24, 26 ou 30 mm de large). En taille réelle, le concept, c'est "j'ai mon Defender, ma Niva pour me balader la semaine et le week end, je vais en foret m'amuser, faire du petit trial". Bref, pas un gros rock crawler qui passe partout, non, un engin sympa pour jouer sur les petits massifs.
Un samedi après midi, j'en parle à mon détaillant unique et préféré. 2 solutions : partir sur des ponts rigides de TLT1, transmission de Traxxas Stampede et ainsi de suite, il faut un tour, une fraiseuse, pour faire un châssis maison... L'autre solution, c'est un Tamiya CC-01 (ou XC, il a les 2 noms) mais ceux qu'on trouve sur Ebay valent une fortune et demie... Soudain, il me dit "bouge pas Patrick" et part en courant, comme après un abus de dragées Fuca... "Heu, Michel, la, c'est le stock, pas les toilettes..." Il revient soudain avec une "ruine", tenue par le pare-chocs avant... "Tiens, regarde ça, j'avais fait une reprise, mais c'est un tas de boue, au sens propre du terme, incomplete, mais elle doit fonctionner"... Rapide coup d'oeil : un CC-01, version empattement court. Les jantes me font penser à une Jeep Wrangler de chez Tam'... On regarde... Il manque les vis des étriers avant, un cardan, 2 roues. La transmission est en bon état, les autres pièces y sont et fonctionnent. La direction est inefficace, de série et fonctionnelle, aussi mauvaise que si l'auto sortait de boite, les suspensions heu... Le jeu est bel et bien la, on reconnait la griffe Tamiya. Et la poussière et la boue se sont invitées un peu partout dans le châssis. Bon, ni une ni deux, 2 paires de jantes HPI Stock Car noires, un Novak Rooster Crawler et son 55 tours et roule ma poule... 2 paires de SDI sur Internet, on trouvera une carrosserie plus tard.
Démontage, nettoyage, remontage, en suivant le manuel trouvé sur Tamiya Club...
Il faut etre clair. Ils ont fumé sur les longueurs de biellettes de direction. On approche les 45° d'ouverture à l'avant, ça sent pas bon. On corrige ça. Ensuite, le sauve-servo Tamiya qui est utilisé depuis plus de 20 ans, il est toujours aussi mauvais. Ouste, remplacé par un palonnier souple de 20mm. Ah, enfin, du braquage. Je remplacerai quand même la tige des biellettes par de la tige filetée de 3mm, je dois avoir 1 tour de filetage de pris sur chaque chape :)
Maintenant, faut motricer... Les 2 différentiels sont bloqués, en utilisant la technique du déplacement d'un satellite, inséré entre ses 2 confrères. Note pour plus tard : maudire sur 3 générations les concepteurs Tamiya incapables de poser un diff étanche sur un engin destiné à rouler dans la boue, la poussière et l'eau. On démontra les diffs à chaque sortie.
On assouplit l'hydraulique (Ultimate 10, donc de la 100 en grade standard), on insère des ressorts en butée de détente (sur le tube plongeur, entre le piston et le fond de l'amortisseur. On durcit les suspensions à l'avant (7mm de cale), on assouplit à l'arrière (ressorts souples du kit CVA mini-shock).
J'installe le vario, le moteur (pignon de 16), quelques coups de double face et ... "Roule ma poule". Premier constat : mon servo de direction (de récup) est trop léger. La disparition du sauve-servo l'a aidé, mais je manque de couple. Et d'angle de braquage, faudra revoir ça :)
Second constat : ça grimpe aux arbres, les croisements de pont sont sympas. Les 2 diffs bloqués, c'est vraiment obligatoire pour se sortir de toutes les situations. Et pas gênant pour braquer sur du plat, donc parfait.
On arrive donc maintenant à la partie intéressante :
  • il va lui falloir une carrosserie
  • il faut revoir la direction
  • il faut gagner en garde au sol devant et derrière
  • il faut éliminer le jeu du train arrière
  • il faut passer la transmission sur roulement
Bref, le cerveau va fumer, je vous tiens au courant :)

Tamiya TL-01 Scale - Histoire du chassis

C'est l'histoire d'une idée stupide, en voyant le catalogue Carson sur Internet... En fait, qui aurait l'idée saugrenue d'arriver sur un circuit, après 400 kilomètres d'autoroute, au volant d'une GT préparée circuit, pas agréable à utiliser dans un cadre routier, bruyante, capricieuse, inconfortable au possible et surtout non homologuée? Pas moi. Dans ce cas, le panel des solutions est vaste, depuis le convoi de semi-remorques aménagés façon motor-home de Formule 1, jusqu'à la camionnette empruntée au boulot avec une remorque plateau, version rallyes régionaux. Pour ma part, pour emmener sur le circuit mon auto de drift, j'avais pensé à la solution pickup + remorque plateau. Je cherche, chez tous les constructeurs, une carrosserie de pickup. Tous ont un défaut, sauf en passant chez Carsson ou je trouve ZE engin qui va bien... Un Unimog U300. C'est du 1/10ème, mais ca se monte sur un châssis thermique de chez Carson, 260mm d'empattement, 200mm de voie... Qu'est ce que j'ai en stock qui pourrait aller? Un TL-01 presque complet, mais les voies ne font que 185...
Bah, déja, on va gruger avec des gros pneus, on arrive à 190. Et pour gagner 10mm, la solution est connue et simple : des axes longs de TG10 et des hexagones longs du kit porte-fusée à pincement M03/TL-01...
Ensuite, il faut du débattement... J'ai en stock une paire de mini-shock CVA, on doit pouvoir gratter de la longueur. Oui, mais le châssis n'est pas prévu pour cela, il faudra modifier les points d'ancrages supérieurs des amortisseurs et revoir les triangles au droit de la fixation de l'amortisseur.
4 roues, les 4 sont motrices, et si elles étaient directrices? Les trains avant et arrière ont la même cinématique, les points d'ancrage sont les mêmes. On peut donc mettre à l'arrière un train avant. Il faut juste prévoir un sauve-servo plus court, pour avoir moins de braquage à l'arrière, et faire un support de servo adapté pour avoir un braquage opposé entre les 2 essieux.
Bref, voila ou j'en suis. Je pense que j'aurai des problèmes avec la transmission, mais chaque chose en son temps.
Sur ce "dossier", je dois donc passer les étapes suivantes :
  • repasser en 4 roues motrices : 2 noix de cardan, 2 cardans
  • passer en 4 roues directrices : 2 porte-fusées avant
  • élargir les voies : 1 kit porte-fusées arrières à pincement + 2 kits d'axes de roues longs
  • passage sur roulement
  • une plaque d'alu pour refaire les ancrages supérieurs des amortisseurs et un coup de dremel pour refaire les ancrages inférieurs
  • peindre la carrosserie
  • trouver des roues (sans doute des jantes Tamiya de Hummer 1/12ème avec des SDI)
En résumé, ça donne la shopping list suivante :
- porte-fusées arrières à pincement pour TL-01/M-03 (50345 / OP345) * 2
- axes de roues long pour TG10/M-04 (50808 / SP-808) * 2
- jantes Tamiya Hummer (58154) *2
- noix de cardan (53218) * 1
- cardans à boule goupillée 35mm *2
- 4 pneus SDI Trail Doctor Soft
Pour les porte-fusées avant, compte tenu de la politique Tamiya, je vais m'orienter sur des pièces en alu d'équipementiers tiers.
Pour l'électronique, je garde mon ESC T2M Fast et mon ensemble émetteur/récepteur 3 voies HPI 27 Mhz. Il faut prévoir 2 servos de direction aux environs de 10 kilos, un Y de servo, le tout en format Futaba. Pour le moteur, un régime aux environs de 5000 trs/min donnerait une vitesse de 10 à 12 km/h. Donc, ça va donner un moteur brushed, format 540, sans doute dans les 90 ou 100 tours.

Tamiya TL-01 Drift - Histoire du chassis - 1999 -2002

En 1999, j'ai acheté un kit dans une grande surface parisienne du modélisme. Il s'agissait d'une Subaru Impreza WRC sur base de chassis Tamiya TL-01. Avec, j'avais une radio-commande Graupner à manches ainsi qu'un variateur éléctronique GM Racing Sport Reverse + brake et un moteur Peak Racing Panther 15*2.
Le variateur éléctronique et le moteur resteront dans leurs boites respectives.
La carrosserie de Subaru vivra mal mes débuts et se verra remplacée par 2 carrosseries de Mercedes Benz CLK aux couleurs des Mc Laren de F1 de l'époque (le dégradé noir vers gris clair), une DTM et une GTR.
La plate-forme, elle, suivra les lignes des autos de la catégorie standard de la Tamiya Cup.
  • chassis allégé (sauf la coquille arrière gauche, trop fragile)
  • montage intégral sur roulements
  • transmission longue
  • barres anti-roulis avant et arriere
  • amortisseurs Mini Shock CVA
  • biellettes avant à pas inversés
  • porte-fusées arrieres à pincement
Et puis, en 2002, je cède au champ des sirènes d'un constructeur allemand, le hurlement d'un flat-6 au petit matin ou d'un 4 cylindres 2.5 litres turbo-compressé me fait passer plus de temps dans les paddocks et sur les pistes échelle 1. Mon petit jouet, bien au chaud dans son sac de terrain, prend la direction de ma cave.

Général - Ouverture du site

Bonjour

Je vais vous présenter ici mes autos radio-commandées. Je ne suis pas un expert, juste un adepte des choses qui fonctionnent bien. Les modifications effectuées et décrites n'auront jamais valeur de parole d'évangile, ce seront juste les solutions que j'ai retenues, qui fonctionneront plus ou moins bien. Bonne lecture :)